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25. |
Vierges sages et vierges
folles. Parabole des talents. |
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Le jugement. |
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1. |
« Alors le royaume
des cieux sera semblable à dix vierges qui
sortirent |
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avec leurs lampes
à la rencontre de l'époux. |
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« DIX
VIERGES SORTIRENT AVEC
LEURS LAMPES À LA
RENCONTRE DE L'ÉPOUX. »
Au
jour des noces, le « promis », depuis
longtemps lié par engagement juridique à la
fiancée, introduit solennellement celle-ci dans
sa demeure. Entouré de ses amis avec qui il a
festoyé tout le jour, il vient chercher, à la
tombée de la nuit, la jeune fille qui l'attend,
entourée de ses compagnes: les vierges de la
parabole. (Ci-dessus :
une des vierges sages à la lampe toujours prête
et une des vierges folles qui retourne la sienne
car elle est vide ; cathédrale de Strasbourg;
XIII° siècle.) Dans le récit, l'époux
se fait attendre et survient à l'improviste :
ainsi du « maître de maison » de la parabole
précédente. L'un comme l'autre est la figure
du Seigneur, dont l'avènement est certain, mais
à une heure que nul ne connaît. Les « vierges
folles » sont l'image des « insensés» des
psaumes et des livres de sagesse, qui pèchent
par imprévoyance, comme si le jugement final ne
devait jamais arriver. (Ci-dessous
: lampe à huile de l'époque du Christ. Clichés
Lauros-Giraudon et Cattoir.)
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2. |
Cinq d'entre elles
étaient folles, et cinq étaient sages. |
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3. |
Les cinq qui étaient
folles, après avoir pris leurs lampes, n'emportèrent
pas |
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d'huile avec elles. |
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4. |
Celles qui étaient
sages, au contraire, prirent des vases d'huile
avec leurs |
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lampes. |
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5. |
L'époux tardant à
venir, elles eurent toutes sommeil et
s'endormirent.
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6. |
Au milieu de la
nuit, on entendit un grand cri : Voici l'époux,
allez au-devant |
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de lui ! |
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7. |
Alors toutes les vierges se réveillèrent, et préparèrent leurs lampes. |
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8. |
Les folles dirent aux sages : Donnez-nous de votre huile, car nos
lampes |
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s'éteignent. |
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9. |
Les sages répondirent : De crainte qu'il n'y en ait pas assez pour nous
et |
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pour vous, allez plutôt chez les marchands, et achetez-en pour vous. |
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10. |
Tandis qu'elles y allaient, l'époux arriva; celles quitaient prêtes entrèrent |
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avec lui dans la salle des noces, et la porte fut fermée. |
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11. |
Les autres vierges revinrent enfin, et dirent : Seigneur, Seigneur, |
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ouvre-nous ! |
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12. |
Mais il leur répondit : En vérité je vous le dis, je ne vous
connais pas. |
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13. |
Veillez donc, car vous ne savez ni le jour, ni l'heure. |
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14. |
Il en sera comme d'un homme qui réunit ses serviteurs avant de partir
en |
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voyage, et leur confira ses biens. |
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15. |
Il remit à l'un cinq talents, deux talents à
un autre,
et un seul au troisième, à
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chacun selon ses aptitudes, et il partit. |
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16. |
Aussitôt, celui qui avait reçu les cinq talents s'en alla, les fit
fructifier et en |
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gagna cinq autres. |
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17. |
De même, celui qui en avait reçu deux en gagna deux autres. |
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18. |
Quant à celui qui n'en avait reçu qu'un, il alla creuser un trou et il y
cacha |
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l'argent de son maître. |
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19. |
Longtemps après, le maître de ces serviteurs revint et leur demanda |
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compte. |
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20. |
Celui qui avait reçu cinq talents vint lui en présenter cinq autres, en
disant : |
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Seigneur, tu m'avais remis cinq talents, en voici cinq de plus que j'ai gagnés. |
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21. |
Son maître lui répondit : C'est bien, bon et fidèle serviteur.
Parce que tu as |
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| |
|
été fidèle en peu, je te confierai beaucoup; entre dans la joie de ton
seigneur. |
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«
SON MAÎTRE LUI RÉPONDIT : C'
EST BIEN, BON ET FIDÈLE
SERVITEUR ... ENTRE DANS LA J
OIE DE TON S EIGNEUR. »
La parabole des talents (chap. 25, vers. 14-30 ;
un talent représentait alors la valeur de
quelque 35 kg d'or ou d'argent) est un nouvel
appel à la vigilance et à la fidélité. Elle
représente de manière à peine voilée l'homme
riche qui « confie ses biens » à ses
serviteurs (vers. 14),
comme le souverain Maître, parti pour le voyage
de sa résurrection, et qui demandera des
comptes au jour du jugement. C'est lui qui
distribue les « talents », dons du corps et de
l'esprit, dons de la foi et dons de lumière, à
chacun en nombres inégaux selon son bon
plaisir, lui abandonnant le soin d'en tirer le
meilleur parti... Un voyageur ordinaire, tel ce
cheik qui confie son troupeau, non sa bourse,
avant de prendre la route de La Mecque, aurait
lui-même porté son argent au banquier pour le
faire fructifier sans risque de surprise. Ici
encore, la récompense qu'est la participation
« à la joie du Seigneur » (vers. 21 et 23)
ainsi que le châtiment au lieu d'horreur (vers. 30) sont
d'ordre spirituel. (Cliché Hayaux du Tilly -
Rapho.)
. |
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22. |
Celui qui avait reçu deux talents s'avança ensuite et dit : Seigneur,
tu |
|
| |
|
m'avais remis deux talents, en voici deux autres que j'ai gagnés. |
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23. |
Son maître lui répondit : C'est bien, bon et fidèle serviteur. Parce que
tu as |
|
| |
|
été fidèle en peu, je te confierai beaucoup; entre dans la joie de ton
seigneur. |
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24. |
Alors celui qui n'avait reçu qu'un talent s'approcha et dit : Seigneur, je
sais |
|
| |
|
que tu es un homme dur, qui moissonne où il n'a pas semé, qui recueille où il n'a pas arrosé. |
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25. |
J'ai eu peur, et je suis allé cacher ton talent dans la terre : voici ton
bien. |
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26. |
Son maître lui répondit : Mauvais serviteur, paresseux! Tu savais que
je |
|
| |
|
moissonne où je n'ai pas semé, et que je recueille où je n'ai pas arrosé; |
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| |
27. |
tu devais donc remettre mon argent aux banquiers et j'aurais en
revenant |
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| |
|
retrouvé ce qui m'appartient avec un intérêt. |
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28. |
Otez-lui donc le talent qu'il a, et donnez-le à celui qui a dix talents ; |
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29. |
car on donnera à tous ceux qui ont, et ils seront dans l'abondance; mais
à |
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celui qui n'a pas, on ôtera même ce qu'il a. |
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30. |
Et jetez ce serviteur inutile dans les ténèbres extérieures, où il
y aura des |
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pleurs et des grincements de dents. |
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31. |
Lorsque le Fils de
l'homme viendra dans sa gloire, accompagné de
tous |
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les anges, il
s'assiéra sur le trône de sa gloire. |
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32. |
Toutes les nations
seront rassemblées devant lui, et il séparera
les uns |
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d'avec les autres,
comme le berger sépare les brebis d'avec les
boucs, |
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« TOUTES
LES NATIONS SERONT RASSEMBLÉES
DEVANT LUI, ET IL SÉPARERA
LES UNS D' AVEC LES
AUTRES, COMME LE BERGER
SÉPARE LES BREBIS D'
AVEC LES BOUCS. »
L'enluminure
de « la Cité de Dieu a (ci-dessus
; XV° s. ; à la bibliothèque Ste-Geneviève)
illustre assez exactement le tableau somptueux
qui clôt la série des paraboles sur le retour
du Christ : accompagné des anges, le voici sur
le trône de sa gloire (chap.
25, vers. 31) ; et si le sort des
saints très notoires n'est pas remis en cause (en haut: Marie assise devant
le groupe des vierges et Jean-Baptiste précédant
celui des apôtres; au premier plan :
Isaïe, le premier des
grands prophètes et Malachie, le dernier des
petits, de part et d'autre de Paul), les
bons et les mauvais « des nations n sont séparés
(vers. 32), comme le berger sépare la
brebis du bouc (ci-dessous, ). (Cliché
Giraudon et Hayaux du Tilly - Rapho.)
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33. |
et il placera les
brebis à sa droite, les boucs à sa gauche. |
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34. |
Alors le roi dira
à ceux qui seront à sa droite : Venez, les bénis
de mon Père, prenez possession du royaume qui
vous a été préparé dès la |
|
| |
|
fondation du monde. |
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35. |
Car j'ai eu faim,
et vous m'avez donné à manger; j'ai eu soif,
et vous m'avez |
|
| |
|
donné à boire;
j'ai été étranger, et vous m'avez accueilli; |
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« J' AI
EU
FAIM
ET
VOUS
M' AVEZ
DONNÉ
À
MANGER ... J' AI
ÉTÉ
ÉTRANGER
ET
VOUS
M' AVEZ
ACCUEILLI ...»
L'étonnement
des disciples est celui de tous: « Seigneur,
quand t'avons-nous vu avoir faim? » Deux fois déjà
Jésus a pourtant tenté d'inculquer à ses
auditeurs la grandiose notion qui s'épanouira
dans la doctrine du corps mystique. La première
allusion (Matthieu,
chap. 10, vers 40) concernait, il est
vrai, les seuls apôtres qui seraient, aux yeux
de tous, ses représentants; la seconde (Matthieu, chap. 18, vers.
5), à propos des enfants, ne semble
pas avoir surpris les disciples. Par cette
litanie à la manière orientale (chap. 25, vers. 35-36), Jésus
lui-même prévient leurs questions. Aux « œuvres
de miséricorde » ainsi énumérées (ci-dessus : dans le psautier
glosé de Cantorbéry, la « Miséricorde »
personnifiée accomplit elle-mêrne les actes
exemplaires de la charité ; manuscrit du XIV«
s. ; à la Bibliothèque nationale), la
tradition en a joint tout naturellement une
septième, familière à la morale juive :
l'ensevelissement des morts
(Tobie, chap. 1, vers. 20). La
perfection réclamait le chiffre 7. (Cliché B.
N.)
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36. |
j'ai été
nu, et vous m'avez vêtu; j'ai été malade, et
vous m'avez visité; j'ai |
|
| |
|
été en prison, et
vous êtes venus vers moi. |
|
| |
37. |
Alors les justes
lui répondront : Seigneur, quand t'avons-nous
vu avoir faim, |
|
| |
|
et t'avons-nous
donné à manger, ou soif, et t'avons-nous donné
à boire ? |
|
| |
38. |
Quand t'avons-nous vu étranger, et t'avons-nous accueilli, ou nu, et |
|
| |
|
t'avons-nous vêtu? |
|
| |
39. |
Quand t'avons-nous vu malade, ou en prison, et sommes-nous venus vers |
|
| |
|
toi? |
|
| |
40. |
Le roi leur répondra : En vérité je vous le dis, chaque fois que
vous l'avez |
|
| |
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fait à l'un de ces petits qui sont mes frères, c'est à moi que vous
l'avez fait. |
|
| |
41. |
Puis il dira à ceux qui seront à sa gauche : Retirez‑vous de moi,
maudits ! |
|
| |
|
Allez au feu éternel, préparé pour le diable et pour ses anges. |
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| |
42. |
Car j'ai eu faim et vous ne m'avez pas donné à manger; j'ai eu soif, et
vous |
|
| |
|
ne m'avez pas donné à boire; |
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| |
43. |
j'ai été étranger, et vous ne m'avez pas accueilli; j'ai été nu, et
vous ne |
|
| |
|
m'avez pas vêtu; j'ai été malade et en prison, et vous n'êtes pas venus
me visiter. |
|
| |
44. |
Alors ils lui répondront : Seigneur,
quand t'avons-nous vu avoir faim, ou soif, |
|
| |
|
ou être étranger, ou nu, ou malade
ou en prison, et ne t'avons-nous pas assisté ? |
|
| |
45. |
Et il leur répondra : En vérité je vous le dis, chaque fois que vous ne
l'avez |
|
| |
|
pas fait à l'un de ces petits, c'est à moi que vous ne l'avez pas fait, |
|
| |
46. |
Et ceux-là iront au supplice éternel, et les justes à la vie éternelle.
» |
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Suite
: 
Le parfum de Béthanie - La Cène -
Gethsémani - Le baiser de Judas - Jésus devant Caïphe
- Le reniement de Pierre.
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Les
images et les textes proviennent de : en ce temps là la
bible. Éditions
du Hennin Paris 1977
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